Le prix de l’essence est aujourd’hui 23 % plus cher qu’il y a un an ; le transport génère 30 % des émissions de gaz à effet de serre
Les pays font face au défi d’atteindre la neutralité climatique pour 2050. Dans ce contexte, la mobilité électrique se présente comme une des grandes solutions à la décarbonisation, qui doit déboucher sur des villes plus propres, durables et saines. Le prix de l’essence est aujourd’hui 23 % plus cher qu’il y a un an et le transport entraîne 30 % des émissions de gaz à effet de serre ; des données qui reflètent la nécessité de casser la dépendance envers le pétrole et de faire le pari de combustibles plus propres.
La rencontre numérique organisée par NOTICIAS DE GIPUZKOA a réuni Mónica Díaz, technicienne du département Efficacité énergétique dans l’Industrie et le Transport de l’Organisme basque de l’énergie ; Ane Insausti, directrice générale de Mubil ; Imanol Rego, directeur général d’Irizar e-mobility ; et Javier Coleto, responsable de la Mobilité durable chez TECNALIA. Selon notre collègue Javier Coleto, la collaboration public-privé est essentielle ; une transition que nous devons tous faire avec des initiatives comme Mubil ou le Corridor basque de l’hydrogène.
Électromobilité
Au cours des quatre premiers mois de l’année, 470 véhicules électriques ont été vendus en Euskadi, sur un total de 7 550, soit 6,2 %. Les solutions en électromobilité doivent être accompagnées du déploiement d’une bonne infrastructure. TECNALIA, en tant que centre technologique, apporte les connaissances et le développement technologique afin d’être compétitif au niveau industriel et de profiter de toutes les opportunités que nous apporte la technologie.
Il est important d’anticiper les besoins, qui découleront de la mobilité aéro-urbaine, de la conduite autonome également dans les transports en commun ou des systèmes qui encouragent la communication véhicule-infrastructure.
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