L’Europe reconnaît notre haut niveau en recherche et notre implication dans la transition énergétique
L’EERA (European Energy Research Alliance) a invité TECNALIA à rejoindre son comité exécutif. Luis Pedrosa, directeur de l’Énergie et de l’Environnement, sera le représentant de notre centre au sein de ce comité.
« Faire partie du noyau directeur de cette prestigieuse association nous place dans la meilleure position pour connaître les tendances et la stratégie européenne autour de la transition énergétique. Avec le CIEMAT, également sélectionné pour rejoindre ce comité exécutif, nous pourrons aider les entreprises de notre entourage, aux niveaux régional et national, à tirer profit des opportunités liées à ce défi ambitieux », commente Luis.
Les nouveaux membres de l’organe directeur de l’alliance ont nommé une nouvelle fois Nils Røkke, de SINTEF, président pour la troisième période.
L’EERA (European Energy Research Alliance) constitue la plus grande communauté de recherche en énergie en Europe. Elle réunit 250 organismes focalisés sur la recherche, de 30 pays. Les programmes communs de recherche de l’EERA englobent toute la gamme de technologies pour une transition énergétique vers un système bas carbone, ainsi que des sujets systémiques et transversaux.
Le choix de notre centre pour devenir membre de l’EERA a dépendu non seulement de notre masse critique, mais aussi du nombre de programmes auxquels nous participons. D’après cette évaluation, nous occupons la 11e place parmi les centres européens : nous consacrons de l’ordre de 310 chercheurs à la recherche liée à la transition énergétique et nous participons à 12 des 18 programmes établis par l’alliance.
Ces programmes sont liés à l’énergie solaire photovoltaïque, à l’énergie solaire de concentration, aux énergies océaniques, à l’énergie éolienne, aux réseaux intelligents, aux cellules de combustible et d’hydrogène, au stockage d’énergie, à la numérisation de l’énergie, à l’efficacité énergétique dans les processus industriels, aux villes intelligentes (smart cities), à la capture et au stockage de CO2, et à l’intégration des aspects et impacts économiques, environnementaux et sociaux.
Le binôme public-privé permettra de créer des synergies importantes pour dynamiser la R&D relative à la transition énergétique à l’échelle nationale et européenne.